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Tuez vous-même votre dinde

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L’un des plus prestigieux quotidien au monde, sinon le plus prestigieux, le New York Times, publie sur son site Internet, un reportage consacré à une pratique particulière : l’abattage de bêtes par des particuliers directement dans des abattoirs. En légende, ce commentaire : « si vous consommez de la dinde, vous devez savoir d’où elle provient. »

If you consume a turkey, you should know where it comes from. Should you also participate in its death? The City Critic reports from a slaughterhouse in Queens.

Tuez vous-même votre volaille

Cliquez sur le lien suivant pour regarder le reportage : Slaughtering Your Own Turkey

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4 Commentaires

  1. Assalâmou alaykoum wa rahmatoullâhi ta’alâ wa barakâtouhou,

    Jazaka Allâhou khayrane jazilane Al-Kanz pour ce reportage de très grand intérêt.

    J’aime beaucoup le plan sur l’expression attendri de la cliente lors de l’abattage de l’animal.
    Lorsque l’on tue soi-même une bête ou lorsque l’on assiste à sa mise à mort, on ressent mieux la fragilité et la valeur de la vie, on n’en a que plus de respect pour elle et l’animal qui la porte.
    C’est un grand moment de rappel et de proximité entre l’humain et l’animal qui est à son service.

    Wa salâm.

  2. Lu sur : http://www.slate.fr/grand-format/aid-moutons-sacrifice-30339 ;
    Florence Bergeaud-Blackler, auteure de Comprendre le halal et sociologue au CNRS :

    « D’ailleurs, contrairement à la cacherout, il n’existe pas de «garantie rabbinique» pour le halal. «Initialement le process halal est issu d’un compromis entre industriels non-musulmans et pays musulmans pour l’exportation des carcasses. Chaque pays a ses exigences. Le process le plus économique a été ensuite utilisé pour fabriquer du halal pour les immigrés, mais sans aucune garantie religieuse comparable à la garantie rabbinique chez les juifs», renchérit Florence Bergeaud-Blackler. Alors que l’avenir du marché du halal est entre les mains des industriels, celui du casher serait donc dans celles des autorités rabbiniques. «La taxe casher prélevée par le Beth Din comprend le contrôle casher mais aussi de quoi financer des activités religieuses, c’est pourquoi les prix sont élevés. Les contrôleurs halal, eux, ne facturent que le travail de contrôle lui-même, les prix halal restent très abordables, il n’y a pas de marge suffisante pour financer des activités religieuses», assure-t-elle. »

  3. Pour l’abattage de dinde le responsable dans le reportage explique la procédure, j’ai cru comprendre que la dinde passe dans un endroit frigorifié pour diminuer le battement des ailes durant le sacrifice, si quelqu’un a compris autre chose, merci de me le faire savoir.

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