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Les questions de M. Easi : acheter sa maison sans crédit classique 1/2

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Finance islamique. Nouvel épisode de la série « Les questions de M. Easi ». Pour accéder au précédent épisode, cliquez sur l’image suivante.

Dans ce troisième épisode, M. Easi et son épouse s’interrogent sur la possibilité d’accéder à la propriété sans recourir à un crédit immobilier classique, en l’occurrence fondé sur le prêt usurier, sévèrement proscrit par les préceptes islamiques.

acheter maison finance islamique
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La série « Les question de M. Easi* » est réalisée par Noredine Allam des éditions BDouin (http://www.bdouin.com). Elle est la propriété de la société groupe 570 (www.570easi.com)

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14 Commentaires

  1. Barakallahufik. Très intéressant. Juste une petite question : durant le paiement par échéance, est-ce que la maison appartient totalement dès la première échéance à l’acheteur, ou est-ce que la maison lui appartiendra progressivement à hauteur de la proportion du prix versé à la banque ?

  2. La solution de « Mr Easi », immo acquisition permet-elle de financer un bien immobilier dans le marché actuelle pour une famille moyenne ou modeste…Quel niveau de revenue faut-il avoir pour prétendre à cette solution pour un bien de 200000€ par exemple…3000€ 4000€???

  3. Salam,

    J’ai quand même un doute quand à la dénomination de la marge que ce fait la banque.
    Je m’explique, ça va être un peu long et surement pas très clair…Désolé!

    Ce que j’ai compris de la finance islamique c’est que si je veux acheter un appart qui est a 100 000€, la banque l’achète
    et me le vend 120 000€. Et la soi-disant marge c’est les 20 000€.
    Pour moi on définit la marge avant d’avoir des acheteurs. Par exemple, un vendeur de meuble, achètera un certain nombre de meubles divers et variés, à un certain prix (ou il les fera faire). Ensuite au moment de les mettre en magasin/en vitrine,
    il décidera du prix de chaque meuble, et donc de la marge. Sans pour autant avoir la garantie de les vendre.

    Là on est dans le cas où la banque joue le rôle d’intermédiaire en prenant sa part. Mais cette part peut aussi être appelé intérêt. Pour qu’il n’y ait pas d’intérêts elle devrait acheter et vendre au même prix.

    Ou Pour que ce soit considéré comme du commerce, il faudrait que la banque se fasse agence immobilière (en qq sorte) et proposent plusieurs appart/maison à un certain prix avec un paiement en plusieurs « plusieurs fois ». Sans pour autant être sure de trouver des acheteurs, sauf qu’elle aurait un avantage par rapport à une agence immobilière classique.
    Et elle pourrait se faire une petite marge en faisant payer des frais d’agence etc…

    Voilà ce qui me fait hésiter quand à la notion de finance sans riba.

    Allah o A3lem

    Salam

  4. as-salâmu ‘alaykum

    Batata, vous écrivez « Pour que ce soit considéré comme du commerce ». Question : en vertu de quoi il faudrait que ce que vous avancez pour que ce soit considéré comme du commerce ?

  5. @Jahvik
    l’image de la 2e ligne le précise, le transfert de propriété se fait immédiatement, dès la revente du bien immobilier.

    @batata
    la banque c’est de l’intermédiation, donc on rentre dans une relation tripartite entre vendeur-financier-acheteur.
    D’où une transaction qui se fait à la demande de l’acheteur avec un calcul de marge en fonction de cet ordre d’achat, rien de magique ni d’illogique.

    Vous aimez les images sinon ?

  6. Salam,

    @alkanz : en fait c’est mon point de vue, mon analyse, je pensais l’avoir préciser.

    @570easi : les images sont claires. En fait, la banque joue le rôle du « samsar »? Mais elle reste une banque qui peut percevoir
    des intérêts sur d’autres produits, non islamique.Quelle est la garantie que l’argent prêté ne contiennent pas de ces intérêts perçus?

  7. Salamu aleykum,

    Dans le cas d’ une vente avec riba, la banque ne joue-t’ elle pas exactement le meme role d’ intermédiaire, sauf que la marge n’ est pas définie à l’ avance?

    il me semblait que dans la mourabaha il devait y avoir cette notion de commerce (part de risque sur la vente, investissement du vendeur sur le produit, etc…), mais je n’ en sais pas assez la-dessus pour comprendre clairement les choses.

    Une personne instruite de la notion de mourabaha aurait-elle la gentillesse de prendre un peu de son temps pour m’ expliquer très distinctement de quoi il s’ agit? cette notion s’ est-elle illustrée au temps du prophète (sws)? Pourriez-vous nous en donner quelques exemples? Une vente ne doit-elle pas etre conclue exclusivement entre le vendeur de la maison (anciens propriétaires) et l’ acheteur (nouveaux propriétaires)? quelle différence existe-t’ il alors entre le leasing, et la mourabaha? dans le cas ou la banque contracte le bien dans le seul but de nous le revendre avec marge, ceci ne relève-t’ il pas le l’ interet?

    J’ espère ne pas vous importuner avec toutes ces questions, mais elles me semblent nécessaires pour comprendre tout à fait ce qui nous est proposé aujourd’ hui.

    Barakalawfikum

  8. Salam aleykoum

    J’ai une question dont je ne trouve pas la réponse .. (Même sur le site de easi)
    De quelle ordre est la marge ?

    Peut-on avoir un exemple ?

    Si j’achète une maison 200 000 € … A la fin elle me revient à combien ? 350 000 € comme du crédit classique ? ou la marge est-elle éthique ?

    Vu que easi est l’intermédiaire avec des banques ? Quelles sont ces banques ?

    Barakalah oufi koum pour ces futurs eclaircissement

  9. Assalâmou ‘alaykoum

    @batata

    Attention à ne pas confondre intermédiaire « transparent » et intermédiaire « actif ».

    Le rôle de la banque dans ce type d’opérations est totalement différent de celui du « samsar » (courtier pour les non arabophones ou devrais-je dire « daijophones » :-)). La banque dans le cas présent, prend possession du bien en l’achetant puis le revend, tandis que le « samsar » ne fait que vous dégoter une bonne affaire et vous met en relation avec le vendeur puis demande une rémunération pour avoir facilité l’opération. Jamais un « samsar » ne prend possession d’un bien.

    Dans le premier cas, votre contrepartie en tant qu’acheteur est la banque alors que dans le second, votre contrepartie est le vendeur du bien et le « samsar » n’intervient pas dans la transaction.

    @muslimBoy

    Vous trouverez une étude de cas sur notre Blog en cliquant sur le lien suivant :

    http://blog.570easi.com/produits/etude-de-cas-1-acheter-un-bien-immobilier-119.html

    En espérant que cela réponde à vos questionnements concernant le financement immobilier.

    @Batoul et @ tous

    Sur invitation de l’équipe Dourous.net, nous étions le week end dernier à la mosquée du Bourget pour une conférence sur le finance islamique que nous avons eu l’honneur d’animer aux côtés de Cheykh Mohammad Patel.

    La question que vous soulevez et qui n’est pas nouvelle y a été traitée de façon précise.

    Nous nous permettons donc de vous renvoyer vers l’enregistrement audio de la conférence.

    http://dourous.net/dourous/actualites-et-venements/dclic-recoit-le-cheikh-mohamed-patel-et-anas-patel-sur-la-finance-islamique-2eme-partie/174

    Les 10 premières minutes apporteront inchâ allâh des éclaircissements précieux.

    Wallâhou a’lam

    L’équipe 570

  10. salamu aleykum,

    barakalawfik, j’ ai écouté très attentivement l’ enregistrement audio, très instructif; cependant je reste toujours très méfiante je dois bien l’ avouer, et je préfère me contenter de peu ici-bas; nous ne sommes que de passage, une maison ne m’ est pas nécessaire dans l’ absolu; je préfère vivre dans la sérénité de la certitude, plutot que de gouter au doute permanent pour un bien matériel. C’ est ce que je ressens, et cela ne regarde que moi.

    Je tiens néanmoins à saluer la clarté et la qualité de votre travail, votre implication, et votre disponibilité.

    salamu aleykum

    Qu’ Allah ta’ ala nous préserve et nous facilite.

  11. Salam alaykoum,

    Le financier oblige-t-il le client de prendre une assurance crédit dans le cadre d’un contrat Mourabaha?

    Quelle forme prend l’ordre d’achat formulé entre le client et le financier? y a-t-il une obligation d’achat sur le client avant que le financier devienne propriétaire du bien?

    Est ce que le client a le droit de se retourner contre le financier en cas de tromperie/vis caché sur le bien acheté? ou bien il est renvoyé au vendeur du bien?

    Baraka laho fik d’avance pour tes réponses

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