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A l’ONU, Dilma Rousseff, présidente du Brésil condamne l’islamophobie

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Sainte Caroline, notre ramadanopathe nationale, va devoir s’y habituer. La propagande qu’elle mène depuis des années pour nier l’islamophobie a du plomb dans l’aile. Reprise à l’envi dans les médias, l’idée selon laquelle que l’islamophobie 1) n’existerait pas, 2) aurait été inventée par les Iraniens sous Khomeyni, est sérieusement mise à mal tant par l’augmentation vertigineuse des actes islamophobes que par les prises de positions publiques d’organisations reconnues, telles l’ONU, Amnesty International ou encore l’OCDE que par des personnalités qui comptent, à l’instar de la présidente du Brésil, Dilma Rousseff.

Le problème est si préoccupant que cette dernière a tenu à dénoncer l’islamophobie lors de son discours à l’ONU. Excusez du peu.

« En ma qualité de présidente d’un pays qui compte des millions de musulmans, du haut de cette tribune, je condamne très fermement la montée de l’islamophobie dans les pays occidentaux. »

Et de préciser que le Brésil compte parmi les participants de haut rang à « l’Alliance des civilisations », initiative de l’ONU, dont le gouvernement turc est à l’origine selon la présidente brésilienne. L’Alliance des civilisations a, selon le site Web de l’ONU, « pour mission d’améliorer la compréhension et les relations entres Nations et Peuples de cultures et des religions différentes, et de contribuer à freiner les forces qui alimentent la polarisation et les extrémismes ».

via Loonwatch

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