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« La peur d’Allah l’a quitté. Cette crainte a quitté la communauté. »

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Quand, nous, musulmans, nous aurons enfin compris que notre réforme morale et spirituelle relève d’une urgence impérieuse, individuellement et collectivement. L’état de notre communauté ne changera que lorsque nous aurons décidé à changer.

Ce ne sont pourtant pas les textes, les hadiths, les versets qui appellent à cette réforme, qui manquent : lutter contre ses vils instincts, condamner le mal, tout mal, et appeler au bien, tout bien, traquer le moindre signe d’orgueil, appeler à la justice même contre soi-même, craindre tout acte d’injustice contre autrui tout autant que contre soi-même. Et pourtant…

Déchirant, n’est-ce pas ? Vraiment déchirant ? Et si on se posait la question de notre complicité passive quand on ferme les yeux sur des actes délictueux – quand tout bonnement on ne participe pas — que nous devrions pourtant dénoncer… Sans parler de l’invocation de l’opprimé.

Imaginons un seul instant que chacun d’entre nous se mette à appliquer les recommandations divines dans notre vie quotidienne, la face du monde en serait bouleversé, vertueusement bouleversé. Pas convaincu ? Et si au fond nous étions tous un petit peu (ou beaucoup) des voleurs qui s’ignorent, ou pas ? : Le vol au quotidien.

Terminons avec ce célèbre hadith :

Abû Sa’id al Kudri – رضي الله عنه – a dit : J’ai entendu l’Envoyé d’Allah – صلى الله عليه و سلم – dire :
« Quiconque constate un fait blâmable doit intervenir pour le corriger par la main, s’il n’est pas capable qu’il le fasse par la langue, s’il n’en est pas capable qu’il le désapprouve en son for intérieur, c’est là le degré le plus faible de la foi. »

Via : La plume de l’islam

Merci à l’équipe de Darifton.

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