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Cet enfant vit désormais dans une caverne, celle de l’horreur, de la barbarie, du traumatisme, de la mort, de la désolation, de l’handicap, de la haine, du silence, de l’indifférence, de la souffrance.
En ce vendredi ensoleillé, pensons à cet enfant, pensons aux familles de Centrafrique, toutes les familles, avec une pensée particulière aux musulmans : ceux découpés, brûlés, lynchés et ceux qui ont échappé à l’épuration ethnique.
La sourate al-Kahf est la 18e sourate du Saint Coran. Il est fortement recommandé de la lire chaque vendredi.
Aujourd’hui, cheikh Muhammad Thani Al-Arussi nous accompagne.
