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#FreeMoussa Moussa au Trocadéro à Paris, et chez vous ?

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Chaque nouvelle journée est une nouvelle épreuve pour Moussa Tchantchuing, un Français incarcéré abusivement au Bangladesh : très investi pour la cause des plus faibles et des opprimés, l’humanitaire de l’ONG Barakacity a été arrêté pour avoir voulu venir en aide aux Rohingyas, répétons-le, l’ethnie la plus persécutée au monde selon l’Organisations des nations unis (ONU).

Moussa patiente d’une belle patience

Moussa est un homme fort, quelqu’un qui sait que derrière toute épreuve qui touche le croyant se cache un bien. Là où il est Moussa patiente d’une belle patience, celle qui n’est ni fatalité ni renoncement, mais courage et acceptation de toute décision d’Allah. Dieu éprouve la foi de ceux qu’Il aime.

Dieu éprouve la foi de ceux qu’Il aime.

Et nous ? La oumma n’est qu’un seul corps, quand une partie souffre, le corps tout entier souffre, nous dit en substance une tradition prophétique. Dans les faits, qu’en est-il ? A-t-on agi comme nous aimerions que d’autres agissent si nous étions à la place de Moussa ? Chacun d’entre nous a-t-il un tant soit peu participé à la mobilisation qui aboutira in sha’a-Llah à la libération de Moussa ?

Se mobiliser, c’est simple comme un clic

Il n’est demandé à personne de jouer les James Bond ou les Indiana Jones, mais d’agir on ne peut plus simplement :

– appeler l’ambassade du Bangladesh en France,
– publier des messages sur Twitter, Facebook, Instagram,
– inviter ses enfants, ses frères et soeurs à dessiner pour soutenir Moussa
– retweeter des messages comportant le hashtag #FreeMoussa
– contacter les médias pour les sensibiliser à la cause de Moussa
– ou encore (nous allons y consacrer un billet), écrire à son député pour lui demander quelle position a-t-il adopté suite à l’incarcération abusive de Moussa.

Des actions très simples, à la portée de toute personne qui a un smartphone ou un ordinateur. Ce type de mobilisations, que certains parmi nous pratiquent depuis des années, sont d’autant plus efficaces que chacun n’attend pas d’être sollicité pour y prendre part. Il est encore trop peu d’internautes qui ont conscience du pouvoir de leur souris, de leurs clics, même lorsqu’ils sont seuls derrière leur écran. Et pourtant.

Vos photos pour Moussa

Ce soir, Barakacity propose une autre mobilisation : parler de Moussa dans un maximum de capitales à travers le monde. L’ONG a déployé aujourd’hui une immense photo de Moussa, prise lors d’une mission auprès des Rohingyas.

On peut élargir cela aux villes. Si vous vivez à l’étranger, apportez votre petite pierre solidaire. Prenez donc une photo en référence à #FreeMoussa avec en arrière-plan un bout de la ville dans laquelle vous vous trouvez. Les monuments architecturaux seront du plus bel effet.

Pensez à publier votre contribution sur Twitter et à l’envoyer à Barakacity à l’adresse suivante : contact@barakacity.com. Rappelez-vous : à son retour, Moussa verra votre soutien. Le soutien de chacun sera d’autant plus important lors de son retour en France que son épreuve est très dure. Ne vous dites à aucun moment que la pierre que vous pouvez ajouter à l’édifice de solidarité qui s’érige depuis la semaine dernière est inutile. Elle ne l’est pas. Faites le bien, faites du bien à Moussa comme lui fait le bien, fait du bien à des inconnus, si durement touchés par la vie.

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