spot_img
- Publicité -spot_imgspot_img

Etourdissement : des images que vous ne verrez pas

Dans la même catégorie

Pour rallier l’opinion publique à leur cause, les propagandistes anti-abattage rituel (halal et casher) n’ont de cesse de dénoncer des conditions d’abattage qui seraient catastrophiques. On n’hésite pas à diffuser photos et vidéos choc d’abattages qui se passent mal et on laisse chacun tirer ses propres conclusions. Seul, face à ces images, l’internaute ne peut qu’être révulsé par ce qu’il voit. Et de conclure, au mieux, que juifs et musulmans sont des barbares.

Ce qu’on ne lui dit pas, c’est que 1) tout processus d’abattage industriel est visuellement choquant. Les steaks ne naissent pas dans les choux et, oui, on vous ment : les pubs bucoliques de l’industrie agro-alimentaire qui inondent presse, média, Internet, avec prairie, agneau tout sourire et famille aux dents blanches, cachent une réalité qu’il serait de mauvais goût de montrer à l’heure du dîner, 2) le seul grief que l’on peut imputer à l’abattage rituel, c’est l’absence d’étourdissement, et jamais les manquements qui peuvent survenir autour. Lors d’une conférence publique en 2008, le professeur Joe Regenstein rapportait le cas d’un rapport commis par une académie de vétérinaires qui taillait en pièce l’abattage casher. Ce rapport s’appuyait sur l’inspection d’un abattoir casher qui manquait gravement aux règles élémentaires d’hygiène et de bien-être animal. Il n’en fallait pas plus à ces spécialistes pour condamner définitivement l’abattage rituel. Or, les manquements constatés n’étaient pas liés au casher, mais à l’incurie de la société qui gérait l’abattoir. Mais, cela ne faisait pas les affaires de l’académie de vétérinaires de faire cette nuance qui n’arrangeait pas sa posture dogmatique.

Dans la vidéo qui suit, chacun pourra constater la brutalité extrême que peuvent subir les bêtes dans un abattoir. Pas d’abattage casher, pas d’abattage halal, mais des porcs bien cochons et le recours à l’étourdissement. L’abattoir rêvé pour tous ceux qui rêvent d’une France sans musulmans halal — de l’extrême droite et la petite Marine qui faute d’épaisseur politique pour convaincre a décidé de faire haro sur le halal (pas sur le casher, évidemment) à l’UMP en péril en passant par les quelques contrefaçons du PS, Valls en premier lieu ? Pas vraiment, car le rêve se révèle être vite un cauchemar, d’abord pour les animaux, ensuite pour les propagandistes anti-abattage rituel.

Prenez par exemple les deux captures d’écran suivantes, tirées de la vidéo. On y voit l’employé d’un abattoir tenter d’étourdir un pauvre veau. Après un premier essai, l’animal, qui n’a pas manqué de souffrir, est au sol, mais bouge trop pour qu’on puisse lui passer le crochet qui permet de le mettre sur la chaîne d’abattage. L’employé écrase de son pied gauche l’abdomen de l’animal pour éviter qu’il ne se débatte trop, puis l’accroche. Il peut alors reprendre les pinces électriques pour lui remettre un coup de jus.

Non, évidemment, l’abattage avec étourdissement n’est pas cruel. C’est même la panacée.

Etourdissement : des images que vous ne verrez pas

Etourdissement : des images que vous ne verrez pas

Attention, les âmes sensibles trouveront rapidement insoutenable les images qui suivent.

La probité intellectuelle voudrait que lorsqu’on s’en prend à l’abattage rituel on fasse la part des choses et on rappelle à l’opinion publique ce qu’est un abattage non rituel. Mais, cela a un risque : discréditer toute cette propagande anti halal menée tambour battant depuis plusieurs mois par l’extrême droite d’une part, certaines associations animalistes d’autre part.

- Publicité -spot_img

Plus d'articles

3 Commentaires

  1. ah et en passant, nous montons actuellement un groupe sur facebook avec des freres et des soeurs afin de lancer des actions de lobying.
    Votre participation est la bienvenue: http://groups.google.com/group/halalendanger
    Pour l’instant nous essayons de rassembler le plus de monde possible.
    La prochaine étape est une réunion (avec des gens motivés bien sur) pour voir quelle genre d’actions pacifiques nous pouvons mettre en oeuvre afin de dénoncer le faux hallal.

    Il est temps de bouger chers musulmans!

  2. as-salâmu ‘alaykum

    Al Taleeb, votre action est vouée à l’échec. Réunir du monde pour agir, ça finit toujours pas l’inaction.

    Kyle, heureusement qu’on ne mange pas qu’une fois 🙂

  3. Assalâmou alaykoum wa rahmatoullâhi ta’alâ wa barakâtouhou,

    C’est hard, vraiment hard !
    Pauvres bêtes ! :’-(

    Wa salâm

  4. Salam,

    C’est incroyable… Aucun respect aucun pour l’animal.

    Al-kanz : Je pense qu’il faudrait que l’on publie des vidéos sur le vrai abattage islamique. Celui pendant lequel on prend la bete avec respect, qu’on l’égorge avec douceur et qu’on la laisse mourir calmement, sans stress et souffrance.

    Cela ferait un da3wa qui toucherait même les plus endurcis je pense.

    Wa salam.

    • Je suis d’accord avec vous, un vrai abattage halal c’est tout autre chose de qu’ils veulent nous faire croire les industriels. L’animal doit être au sol sans être attaché …..

  5. Assalamou ‘alaikoum,

    Ashraf >> Euh oui, enfin, faut pas non plus abuser: un abattage rituel, fût-il correctement fait, reste une mise à mort. Le sang gicle de partout et l’animal n’a aucune envie d’y passer. C’est pas non plus bisounours quoi même si c’est surement plus respecteux que ça.

    🙂

  6. Salam Aleykoum ,

    oeso , ça me donne juste envie de devenir végétarien . Comme le souligne Kyle , même quand l’animal est abattu dignement dans le respect de sa vie qu’il offre pour nous nourrir , ça reste un abattage .

    Mais quand on voit les abattages façon occidentale ( je le suis…) , on se dit qu’il y a vraiment un problème , les gens qui font ça frappent les animaux , écoutent de la musique (sic!) , se racontent des blagues , rigolent un coup quand la bête à été ratée et tente désespérement d’y échapper , enfin bref , au mieux on dirait qu’ils s’en foutent complêtement , au pire , qu’ils y prennent un certain plaisir…ça m’éccoeure .

    Wa Salam.

  7. Y’a un truc qui m’échappe,
    souvent le prétexte utilisé pour éviter l’abattage rituel c’est la « rentabilité », mais en voyant cette vidéo on constate qu’avec les moyen actuels la « rentabilité » n’y est absolument, le gars perd un temps fou a attraper la bêtes et cela que pour « l’assommer » …
    le rituel d’abattage est largement plus rapide puisqu’on évite cette perte de temps là.

  8. Salam,

    @Kyle : ah, si. Si c’est bien fait, l’abattage est assez beau à voir. Si le couteau est assez tranchant et si on ne se présente pas à elle comme une brute, la bête ne montre aucun signe de souffrance. Mort paisible.

    Après, j’admets qu’il est probable que ce ne soit pas ce qui se fait dans tous les abattoirs dits hallal.

    Wa salam.

  9. c’est atroce
    rien a voir avec le rituel musulman.
    quand c’est bien fait (1 seul passage avec couteau eguisé) la bete ne sens meme pas le couteau passer
    et s’evanoui juste après!
    et après c’est nous les barbares… je me marre lol

  10. Assalamoualicoum,
    Peureuse, je n’ai pas osé lancer la vidéo mais vous crois sur parole quand vous parlez d’atrocité.
    il faudrait signaler la vidéo comme interdite aux moins de …

    d’accord avec le frère. Cher Al Kanz, ne pourriez vous pas abonnez BB à vos newsletters ?

    Voici une adresse : enquete@fondationbrigittebardot.fr

  11. as-salâmu ‘alaykum

    Fs,
    Il faut dépasser le discours qui consiste à dire « oh BB devrait regarder ceci, BB devrait regarder cela ». Ça n’a aucun intérêt.

  12. Ce qui m’a vraiment peiné ce sont les touuuus petits agneaux passés à l’abattoir avec leurs mères, alors qu’ils sont de très très petits nourrissons qui même face à la mort éminente ne songeaient toujours qu’à téter leurs mères stressées alors que celles-ci étaient effrayées et se savaient destinées à y passer.

    Les juifs durent mal comprendre une recommandation de la Torah, croyant qu’il leur est interdit d’associer et de manger de la viande avec du lait, et s’abstiennent dès lors de le faire, alors que cela découle d’une interprétation littéraliste hélas de la Torah.

    La vraie interprétation (mienne d’ailleurs) entend qu’il ne faudrait pas égorger l’agneau avant qu’il ne soit sevré, d’où la métaphore de ne pas devoir cuisiner sa viande tout en buvant le lait de la brebis qui devait le materner.

    Autant on peut se délecter d’un bon méchoui, autant je trouve infamant d’assassiner ces touuus petits agneaux.

    D’ailleurs, chez les musulmans, il est strictement interdit d’abattre un agneau ne dépassant pas les 6 mois; de même il y est des âges minimums pour les autres type de bétail.

  13. Durant les précédents Aïd j’ai toujours été assez actif pour aider la famille à manipuler le mouton immolé.

    Mais ce Aïd al Adha fut assez particulier car j’ai moi-même pour la toute première fois de ma vie égorgé un mouton.

    Sachez qu’il s’agissait là d’une expérience inouïe qui ne peut nullement faire de l’individu un barbare.

    Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, j’y étais allé sans grande appréhension (car j’étais hautement conscient que le mouton n’allait pas souffrir / scientifique de formation et très très curieux, j’ai fait plein de recherches en ce sens et pourrais richement écrire sur ce sujet), et ce n’était qu’une fois sa carotide et ses jugulaires coupées (par un couteau très aiguisé) que je m’étais mis à trémousser. Ce n’était pas le sang s’écoulant qui me mit à trembler, mais plutôt l’action même de prendre conscience d’ôter la vie (que Dieu a créée) à un animal (même si je reconnaissais que ce prélèvement Dieu nous l’a autorisé pour que nous puissions nous nous sustenter).

    Passé cette haute prise de conscience, j’avais écorché l’animal avec l’aide de mon père, et c’était moi qui avait évidé seul toute la carcasse du mouton : c’était une vraie expérience toute aussi singulière que la première, et ce fut un vrai riche cours d’anatomie que je redécouvrais en direct sans l’assistance d’un professeur d’histoire naturelle.

    Je le jure que ces deux actions me donnèrent une très très profonde leçon quant à l’existence de Dieu et quant au miracle de la vie.

    Quand j’explorais l’intérieur de la carcasse du mouton et que je palpais et enlevais chaque organe de sa place, je réalisais au fur et à mesure comment ce corps animal tout à l’heure animé était une vraie merveille créée par Dieu, et comment tout était bellement organisé et orchestré dans son sein.

    Touuuutes mes connaissances riches en biologie, en physiologie et en médecine traversèrent mon esprit et celui-ci fut trop émerveillé par tout ce que mes mains touchaient. Je palpais par mes mains et par mon esprit la belle création divine.

    Je fus fort interloqué de réalisé comment le coeur était bellement enchâssé entre les poumons, et comment il était protégé par le péricarde, comment il était ultra-lubrifié de l’extérieur au sein de ce péricarde, et comment il était connecté avec les poumons, le cerveau et les autres artères, et comment touuus les organes communiquaient entre eux et étaient en suspension dans ce corps, chacun logé dedans dans sa juste place….

    Je vous le jure, c’était très très édifiant que l’action d’ouvrir le capot d’une voiture ou d’un avion de chasse et de bidouiller dans l’intérieur de leurs mécaniques et électronique. Nonnnnn, c’est largement bien plus époustouflant que de regarder juste un mouton vivant et broutant de la paille. Tout y paraitrait « simple » à un regard nonchalant, mais connaissant le caractère fabuleux de la cellule vivant, touuuuut y tenait de l’ordre du miracle.

    Ce fut vraiment une vraie exploration spirituelle, et un vrai voyage qui avait permis à mes mains et à mon esprit de toucher les empreintes de Dieu dans Sa création.

    Quand alors je mets un morceau de viande dans mon palais, accompagné d’une bouchée de pain, je réalise désormais les grannnnds miracles qu’il y a dans ces deux aliments qui vont nourrir mon corps initialement fait de terre, et qui eux-mêmes tous deux ressortent de la terre.

    L’action d’égorger le mouton de l’Aïd n’a fait que me rendre plus conscient de la vie et de ses miracles, et me sensibilisa intimement à respecter davantage la sacralité de celle-ci, de tout ce qui la constitue, et encore, de Celui qui l’a créée et animée.

    Ce fut une expérience largement plus différente et enrichissante que l’action d’aller acheter un joli morceau de viande – logé dans une barquette selofanée – sur les rayons ultra-mercantilisés du supermarché.

    C’est à Dieu que nous sommes et c’est à lui que nous revenons.

  14. Une nourriture halal c’est une nourriture qui ne contient pas d’alcool, qui ne contient pas de sang, qui ne contient pas de cochon, ou qui contiendrait une viande non licite ou des dérivés de ces quatre éléments là. Sa source, sa production, sa préparation et sa commercialisation (limitation des bénéfices qui devraient en être tirés / pas d’usure / pas de spéculation non plus) doivent également répondre à de l’étique pour être complètement considérée halal ;ors, beaucoup sont les professionnels à négliger – hélas – cet aspect moral là.

    En sus de cela, une viande typiquement halal (licite) est une viande qui devrait être issue d’un animal qui a été abattu selon le rituel musulman (voire casher), càd, issue d’un animal qui a été égorgé conscient et sur lequel a été prononcé la formule suivante : Bismi Allahi ar-Rahmani ar-Rahim / Au Nom de Dieu le Tout Clément le Très Miséricordieux, en guise de demande d’autorisation à Dieu d’ôter une telle vie qu’il a mise et créée pour notre bien et à notre service, et en guise de remerciement qu’Il ait mis à disposition entre nos mains une telle source d’alimentation.

    Egorger l’animal à manger n’a rien d’un acte barbare : une fois les carotides tranchées, le sang s’arrête d’alimenter le cerveau en oxygène, ce qui fait tomber l’animal dans une anoxie instantanée et dans une perte immédiate de conscience ; en manque, le cerveau sollicitant un plus grand afflux en oxygène commande au coeur, à cause de cette détresse là, de pomper davantage de sang, qui s’éjecte alors davantage en dehors du corps de l’animal abattu. Par ce moyen, la viande de l’animal se retrouve épurée de son sang, de ses toxines (l’urée entre autres), des hormones encore proactives (comme l’adrénaline entre autres), et se retrouve partant débarrassée d’un grand terreau où peuvent progresser pas mal d’éléments pathogènes (qui peuvent déjà être dans le sang, ou s’y développer). Les réactions et contractions musculaires de la carcasse de l’animal peuvent elle aussi contribuer à cette action d’essorage.

    La viande d’un animal égorgé conscient est plus propre à la consommation que toute autre viande préparée autrement.

    L’électrocution, voire l’électronarcose, suivie par un égorgement, ne permet pas cette épuration de la carcasse de son sang, pour le simple fait que le coeur peut se retrouvé paralysé, et surtout surtout parce que le cerveau ne commande plus au coeur de pomper brutalement du sang à l’extérieur, puisqu’il n’enclenchera plus de réaction neuromotrice à la destination de cet organe.

    Je le répète, dès que les carotides sont coupées, l’animal tombe inconscient en anoxie ; malgré la brutalité de ses réactions (purement physiques) il n’est plus conscient.

    L’autre jour, sur Europe1, un diététicien, non musulman, laissait bel et bien comprendre que la viande saignée était plus propre à la consommation et plus diététique que celle qui ne l’était pas. Même visuellement, elle est plus belle à regarder, et est moins propice aux attaques microbiennes.

    Merci à Al-Kanz de livrer la photo où deux sacs de viandes halal et non halal étaient comparées, ainsi que le lien vers le podcast dudit diététicien.

    Dommage que des commerçants véreux commercialisent sans aucune vergogne de la viande non halal à leurs clients en prétextant qu’il s’agisse de viande halal.

    Si les non musulmans comprendraient les sens du halal et ses hauts intérêts bénéfiques ils n’auraient à manger que halal. Certains s’y mettent spontanément déjà ; reste juste que la garantie du vrai halal soit avérée.

  15. L’abattage classique est signe d’un long processus de souffrances pour l’animal. Pour le cas des bovins, comme on l’a vu dans de nombreuses vidéos, une fois l’animal serré dans un box, celui-ci reçoit une bonne décharge d’un pistolet à tige, dont le projectile fracasse le front de l’animal et le fait effondrer sans que ledit cou ne soit JAMAIS mortel. La souffrance de l’animal comme dès lors en se décuplant dès ce stade.

    Conscient et immobilisé de souffrances, l’animal est rejeté par le box automatique, et l’opérateur vient lui accrocher une attelle pour le suspendre en hauteur grâce à un élévateur. Muni d’un moyen couteau, le boucher éventre l’animal – toujours conscient – latéralement du dessus du nombril jusqu’au cou, ouvrant ainsi une béante brèche.

    Dans un troisième geste, le boucher se muni cette fois d’un très long couteau et éclate le cœur gorgé de vie et du sang de l’animal. Là, même avec une très forte dose de morphine, aucun animal ne pourrait supporter une telle douleur, car, oui, jusqu’ici l’animal restait encore conscient, et même s’il aurait été étourdit, ce coup lâche ne pourrait que le réveiller. Et là, l’animal meuuugle touuuute son intense souffrance.

    Hélas, ce troisième coup lui non plus n’est pas immédiatement mortel, et la vie reste encore prisonnière dans ce corps endurant une énorme souffrance, et c’est dans une très très longue agonie que l’animal se voit perdre graduellement sa conscience et son souffle de vie.

    Non encore mort et étant encore conscient, l’animal est manipulé par l’opérateur qui s’empresse souvent à lui couper ses pattes devant afin de ne pas en recevoir par inadvertance quelconque coup de sabot. Et à cet autre coup de lâches, l’animal réagit encore, exprimant toute sa douleur à être en plus ainsi démembré

    Toujours vivant et en lente agonie, l’animal est renvoyé par la chaine automatique vers l’égouttoir, à côté d’autres bovins encore agonisant, qui passèrent par le même processus que le sien.

    Dans l’ensemble de ce carnage sadique, on comptabilise 4 processus (sévices) où l’animal est atrocement martyrisé, et ce sans qu’il n’ait à perdre nullement sa conscience. Du commencement jusqu’à la fin, l’agonie de l’animal se déroule pendant 6 jusqu’à même 10 atroces bonnes longues minutes pleines de douleurs.

    L’abattage islamique se passe vite fait bien fait. Il n’y est même pas lieu de suspendre en hauteur l’animal conscient par l’une des pattes arrières afin de l’égorger comme il se fait chez nos frères juifs (soit disant pour faciliter l’écoulement du sang), alors que ça ne fait que rajouter de sa frayeur. Il convient juste de l’immobiliser dans un box spécialisé qui étend le coup de l’animal vers le sacrificateur, et hop, d’un seul coup l’animal est égorgé par une lame large et bien aiguisée. L’animal rentre illico dans le coma ; et la pression artérielle provenant du cœur et de la détresse cardiaque (post-égorgement) font évacuer tout le sang de la carcasse.

    L’animal ne souffre pas. En dehors de l’ambiance de l’abattoir (hors chambre d’abattage) et les manipulations pour l’amener vers le box automatique, seul l’effet de contention exotique appliqué par celui-ci qui peut l’effrayer.

    L’abattage rituel islamique traite l’animal abattu largement mieux et plus rapidement que dans l’abattage classique, et épargne même la suspension zélée qu’appliquent nos frères juifs aux bêtes qu’ils immolent.

    L’abattage islamique peut être pratiqué par quiconque musulman pratiquant. Et contrairement à nos frères juifs, il n’y a pas lieu qu’il soit pratiqué par un religieux officiel pour que la viande de l’animal abattu soit considérée comme licite.

    L’animal à abattre on ne chante pas des litanies ou des prières par dessus pour le sanctifier, mais, plutôt, on prononce avant l’action d’immolation la classique formulation islamique initiée dans tout geste ordinaire et quotidien que le musulman entreprend, à savoir : « Bismi Allahi ar-Rahmani ar-Rahim / Au Nom de Dieu le Tout Clément le Très Miséricordieux » ; et ce en guise de demande d’autorisation à Dieu d’ôter une telle vie qu’il a mise et créée pour notre bien et à notre service, et en guise de remerciement qu’Il ait mis à disposition entre nos mains une telle source d’alimentation. Des fois mêmes on peut même observer que l’animal se tranquillise à l’écoute d’une telle formule!

    Bein oui, il y est une étiquette minimale à respecter, pour ne pas être similaire à n’importe quel carnivore.

    ^__^

  16. Assalâmou alaykoum,

    @ Paradisial : Mâ châ Allâh ! Votre logorrhée est à la hauteur du choc produit par les images, c’est compréhensif.
    (Je vous taquine !!!) 😉

    Wa salâm

  17. Assalâmou alaykoum,

    @ Mohamed : Toujours aussi expéditif ! :-))
    C’est sûr qu’avec vous, l’animal n’aura pas le temps de souffrir !
    (Excusez mon humour, moi aussi je décompense ! Je suis en train de lire un texte très très sérieux.) ^ ^

    Wa salâm

  18. wa alaykumu ssalam

    Cher Mohamed,

    Je faisais allusion à la notion de fraternité dans l’humanité, vu que nous partageons les mêmes premiers grands-parents, que le Salut de Dieu soit sur eux.

    Et il y est également le lien de filiation qui met en connexion les cousins que nous sommes, de part notre patriarche Abraham, que le Salut de Dieu soit sur lui également.

    Et il y est également la fraternité entre tous les prophètes que Dieu fit révéler à l’humanité, que le Salut de Dieu soit sur eux tous réunis.

    Et c’était certes aux vrais bons juifs que je faisais allusion, ceux vraiment aimant Dieu et aimant leurs autres frères de l’humanité, aussi très rares puissent-ils être.

    Et pareil que toi, je suis viscéralement antisioniste, et jamais je n’aurais à considérer un sioniste comme étant mon frère, et ce quelle que serait son obédience religieuse et son origine géographique.

    En bons musulmans certes nous ne confondons pas entre judaïsme et sionisme, et nous considérons que ces deux courants sont totalement antinomiques.

    Voilà, la nuance a été levée.

    Chère Sœur Justine,

    Moi aussi je suis très taquin, et de l’humour j’apprécie même celui bien noir, genre british, voire juif. ^ ^

    Si ton texte est électronique, n’hésite pas à le partager.

  19. @ Mohamed
    le juif est mon frere humain!
    car lui aussi Allah l’a crée
    et il est aussi un fils d’Adam (paix sur lui)

    Allah le nourrit comme il me nourrit
    Allah lui a donné la vie comme il me l’a donné aussi

  20. @haaji, il est la le problème,
    je vois deux types de fraternités, celle du sang et celle de la religion ,les vrais juifs qui suivaient Moïse, que la paix soit sur lui, à leur époque sont les frères des musulmans.
    Je respecte chaque être humain ,je jure devant Allah le tout puissant que je ne suis pas raciste et que je suis respectueux envers les religions monothéistes cependant ,(comme tout bon muslim)

  21. Salut,
    Pou connaitre un des bénéfices de l’abattage rituel voir : lire l’article sur le livre :
    Le Vrai Régime anticancer, Pr David Khayat, ed.Odile Jaccob

    dont voici un extrait :
    « Les adventistes du septième jour de Californie, végétariens, ont le même risque de développer un cancer colorectal que les autres. » CQDF En 2007, le « Journal of the National Cancer Institute » arrive à la même conclusion grâce à son vaste panel de près de 500 000 Européens, dont l’alimentation a été surveillée comme le lait sur le feu entre 1992 et 1998. Ce n’est donc pas la viande rouge qui serait cancérigène, mais plutôt son mode de cuisson d’une part (lire extrait ci-contre) et, d’autre part, le sang contenu dans cette viande.
    Le conseil du professeur Khayat :
    « Il faudrait vider la viande rouge de son sang avant de la cuisiner, un peu comme les juifs et les musulmans le font avec la viande casher ou halal : ils mettent du sel dessus et la lavent avec de l’eau avant de la cuire. Il faudrait aussi, comme beaucoup de grands chefs, faire reposer les pièces de viande autant de temps qu’a duré leur cuisson. Pendant le temps de repos, les fibres musculaires qui se sont contractées au contact de la chaleur se relâchent, la température se diffuse à l’intérieur de la viande qui continue à cuire délicatement. Et les vaisseaux qui contiennent le sang se vident. »

    un résumé du livre à lire sur : http://www.amessi.org/Pour-en-finir-avec-les-idees

    Bien à vous,
    Ali

  22. As-salama ‘alaykum

    Si on observe la nature tous les predateurs etouffent ou mordre le cou de leur proie avant de les devorer.
    L’islam est en accord avec la nature.

    L’islam c’est la religion naturelle , il y a aucun doute.

    Profitons de ce evenement pour entreprendre une darwa nationale,

  23. Erratum [post 18] :

    Il aurait fallu que j’ajoute dans ma dernière phrase ce qui est indiqué ci-dessous en majuscules :

    D’ailleurs, chez les musulmans, DURANT l’AÏD, il est strictement interdit d’abattre un agneau ne dépassant pas les 6 mois; de même il y est des âges minimums pour les autres type de bétail.

    – – – – – –

    Bein oui : les gens qui n’ont pas de moyens, ils n’ont pas à se forcer d’acheter un animal plus jeune et donc moins cher. Par contre, il est du devoir du musulman de partager la viande de l’animal abattu et d’en faire aumône, ainsi, même les indigents, les connaissances et les proches parents non aisés auront leurs propres parts à manger.

    Quant aux autres jours ordinaires de l’année, il est séant d’imaginer qu’un éleveur (traditionnel ou industriel) n’aurait aucun intérêt à vendre un agneau nourrisson ou trop jeune vu qu’il ne lui rapportera pas grande chose. De même en est-il pour le pauvre paysan faisant de l’élevage vivrier : il préfère se nourrir de son mouton bien chargé de viande que plutôt trop jeune.

  24. Cher Abou Adam,

    Excuse moi mon frère de venir à l’encontre de tes propos.

    Dans mon intervention d’avant, j’avais tenté d’expliquer que la relation du musulman avec l’animal à abattre était assortie d’une certaine étiquette minimale à respecter afin de ne pas brutaliser celui-ci et de lui abréger toute souffrance, pour ne pas avoir à être similaire à n’importe quel carnivore.

    Or, te voilà cher ami venant nous comparer avec les prédateurs sautant au cou de leurs proies.

    Franchement, c’est absolument pas fin de ta part.

    Au contraire cher ami, l’Islam n’est pas en accord avec la nature du règne animal, et c’est justement de cette nature animale là qu’il cherche constamment à nous extirper, en nous invitant à chercher l’élévation comportementale, intellectuelle, spirituelle et existentielle.

    Il est dans la nature des animaux carnivores de chercher à tuer leurs proies par le billet des armes qu’ils possèdent. Et souvent, la mise à mort se déroule brutalement et dans la souffrance. Si l’animal chasseur s’attaque à sa proie de par son cou c’est justement qu’il a été programmé de façon innée à distinguer cet endroit là plus saisissable et très vital. Et souvent, les grands félins tuent leurs proies non pas en les saignant, mais en brisant par leurs longues canines la colonne vertébrale de la proie saisie, sans manquer à trancher par elles les artères et à comprimer l’œsophage et donc la respiration. Et l’agonie de l’animal est souvent assez longue, puisque d’abord le coup de canine la rend tétraplégique, puis il la saigne sans grands dommages, puis il l’étouffe en un laps de temps assez long. Donc c’est l’abattage classique qui ressemble plus à ce mode animal, puisque cet abattage assène à la victime toute une série de sévices successifs.

    Dans le même esprit (animal) il a été de la nature des humains primitifs de chercher à tuer les animaux (non pas de chasse mais carrément) d’élevage par les armes (de bord) qu’ils avaient le plus à disposition entre leurs mains, à savoir souvent : « le gourdin » voire « une lourde pierre », en y allant franchement et souvent à maintes reprises. En Occident, dans les campagnes, même pas si longtemps, les paysans y allaient de la même manière, sans parler des volailles dont ils tordent jusqu’à aujourd’hui les cous.

    L’égorgement (à l’état de conscience), à l’opposé de touuuutes ces méthodes, est le seul moyen qui abrège à l’animal abattu toute série de souffrances que son futur consommateur pourrait lui asséner. Un coup sec, et hop l’animal quitte ce monde en tombant instantanément dans les vapes (même si le souffle de vie prend quelques courtes minutes à s’extirper).

    Contrairement à tes dires : la méthode musulmane est très très « humaine », car elle se soucie énormément d’abréger les souffrances de l’animal, en se distinguant de tous les autres modes, y compris celui juif (imaginez la frayeur de l’animal pesant quelques 300 kilos suspendu à l’envers, le niveau de la compression exercées sur ses pattes, et celui de la pression artérielle exercée sur son cerveau par l’effet de la gravité).

    Quant au cou, il s’agit tout simplement de l’endroit idéal le plus proche du coeur permettant de couper net, rapidement et efficacement le réseau de la double circulation sanguine, tout en permettant une vidange idéale de la dépouille de son sang (le coeur en détresse continuant une action accélérée de pompage, et l’existence des deux voix permettent la sortie du sang et son remplacement par l’air ambiant). Cette technique est largement plus efficace que la technique du sabrage du cœur qu’effectuent les bouchers occidentaux dans l’abattage classique, car ce sabrage n’endommage souvent qu’un quart ou que la moitié du cœur, en endommageant partiellement ses fonctions de pompages, sans amener l’animal à perdre conscience et à mourir vite ; au contraire, souvent l’animal se réveille, et souffre son pire martyre, et prend de longues minutes à agoniser dans d’atroces douleurs, douleurs auxquelles s’ajoute celles de l’étouffement, puisque l’ouverture du torse de l’animal (nécessaire à l’action de sabrage) endommage l’action du diaphragme (en brisant l’atmosphère thoracique neutre) qui est indispensable au mouvement pulmonaire. L’animal meurt d’asphyxie et d’une trèèès lente perte de son sang que son cœur endommagé n’accélère point (mais la ralentie).

    L’Islam est la religion de la bonne nature et non pas celle naturelle (car il y a une très large nuance entre les deux formules). Certes la deuxième formulation elle aussi serait acceptable, mais à condition d’avoir à la définir philosophiquement (et là il conviendrait de s’enliser très très profondément) au lieu d’avoir à nous comparer directement aux animaux.

    Concernant ce dernier titre (comparatif), en guise de conclusion, j’aimerais juste rappeler une fabuleuse citation de l’Imam Ali :

    ^ Dieu créa les anges dotés que d’Esprit,

    ^ IL créa les animaux dotés que de passions,

    ^ puis IL créa l’Homme doté et d’Esprit et de passions,

    ^ quiconque ses passions triomphent de son esprit sera alors plus vil que quelconque simple animal,

    ^ et quiconque son esprit triomphe de ses passions il s’élève dès lors par dessus tous les anges.

    En d’autres termes cela entendait :

    Au lieu de tomber esclaves des plus bas de nos instincts, voire même encore plus bas que l’animal, et au lieu de laisser nos instincts gérer toute notre vie, pour que notre vie ne soit en fait résumée qu’à une tentative de satisfaire nos plus bas et très primaires instincts, nous nous devrions d’être les maîtres de nous-mêmes, les maîtres de nos destinées et les maîtres également de ces instincts là (que nous ne devrions point laisser exprimer tout librement tel tout autre animal, voire laisser se manifester sous une forme encore plus basse que celle des animaux).

    Le véritable maître devrait être l’esprit et non pas l’instinct. C’est l’esprit qui devrait guider l’instinct et le contenir, et non le contraire, autrement nous serions plus bas que les animaux, qui eux possèdent des instincts mais sont dépourvus de l’esprit.

    Si l’esprit ne nous élève pas, cela entendrait qu’il serait assez mal exploité, et que ce mauvaise exploitation nous rabaisse davantage que si nous n’en étions pas pourvus, ce qui serait très très dommageable à notre condition d’humain.

    Donc cher ami, nous ne sommes ni des prédateurs, ni des carnivores, ou du moins, pas n’importe lesquels, car même dans le plus moindre geste de notre vie on a un minimum d’étiquette, y compris dans notre acte d’abattage des animaux, ou en toute évidence le bien-être de l’animal est certes largement respecté et ne se départi pas de la grande sacralisation que l’on accorde à la vie que Dieu a créée et a soufflée en Ses créatures (dont nous faisons partie).

    Le choix des mots est fort important, et plus spécialement dans la da’wa (la prédication).

    Salutations les meilleures cher frère.

  25. Al-Kanz,

    Je me retire, car je n’apprécie pas être mis dans un box étroit tel certains animaux de la vidéo, quoique les contextes soient largement différents.

    J’aurais à vous proposer ultérieurement une collaboration d’écriture, par mail incha-Allah.

    Je me suffirais de lire de temps en temps, sans avoir à réagir dans vos colonnes.

    C’est la forte interaction (sans limitation de sujet) qui permet d’animer grandement un site, et non la crainte de son webmaster à perdre de l’audience via des liens sortants !

    Comme ledit l’adage : al hadithu dhu choujoune / la parole se ramifie tel les branches d’un arbre.

    Si ostracisme il y aurait, autant adopter la totale auto-censure : se taire totalement et passer à autre chose.

    Je regrette d’avoir écrit quelques caractères par ici.

    Bon vent, wa salam.

  26. C’est en permettant le partage de lien, que le site saurait devenir une réelle plateforme d’enrichissement entre commentateurs, ce qui ne saurait qu’accroitre l’interaction entre eux et inciter d’autres à rejoindre le lot des gens qui dynamiseront le site par leur échanges autant autour du hallal autant en se permettant de faire quelques digressions hors sujet. Sinon, autant faudrait-il revenir vers un site de format statique, et laisser tomber le web2.0. :-/

  27. En échangeant des liens les gens partent les explorer pour revenir (tout en pouvant ramifier leurs explorations parallèles sur l’autre site explorer).

    Le partage fait partie des bonnes mœurs du musulman.

    Pour élargir d’audimat il faudrait savoir accepter de développer cette propension consistant à le partager afin de mieux le développer.

    Salam.

  28. as-salam ‘alaykum Paradisal

    je pense mon frere que tu confonds deux notions : le désordre moral et la vie animal.

    Les animaux ne sont pas considérés en islam comme des êtres inférieurs à l’homme.
    L’homme a autorité sur eux et sera jugé sur cette responsabilité.

    L’homme peut evoluer entre deux pôles : la bonne ou mauvaise moralité.

    La mauvaise moralité c’est pas l’animalité, cette confusion ne provient pas de notre religion mais d’une corruption de ceux qui considérent les animaux comme des êtres sans valeur.

    Au contraire l’islam affirme que tous les être vivants adorent leur Seigneur comme i lest ecrit dans le Coran.
    Et c’est cela qui rend sacré leur être aux yeux du musulman.

    Non il ne faut pas confondre la mauvaise moralité avec l’animalité.

    Les animaux eux ne pechent pas, ils en seront pas jugés. Ils ne sont donc pas mauvais par nature mais au contraire soumis à leur créateur par leur determinisme.

    Tandis que lui l’homme par sa volonté a un certain pouvoir à l’indeterminsme.
    Il a le pouvoir de faire le bien ou le mal.

    L’animal n’est pas mauvais en lui même car il n’a pas ce pouvoir d’indeterminsme.

    Donc on ne peut pas dire que l’animalité est un désordre au contraire le monde animal est une source de médition et d’enseignement pour les hommes .

    Allah ne nous invite t’il pas à mediter sur sa Creation ?

    Au plasir de te lire akhi. 🙂

    Mais Allah sait mieux.

  29. Mr Fateh,

    Point de mélodrame il y a. Mon propos fut trop clair.

    On n’est pas des animaux. Je laisse les fils barbelés à ceux qui les apprécient. Même chez les sites d’extrême-droite il n’y a pas ce musèlement dite « H.S ».

    Les commentaires se limiteront alors à des remerciements, à des salutations et à des encouragements. Là ce ne sera en effet jamais du « H.S ».

    Les échanges édifiants on les gardera pour des sites plus « ouverts ».

    Salamu Allahi alaykum.

  30. Cher Frère Abou Adam,

    Wa alaykumu ssalam.

    Désolé cher ami, il y est encore mutuel distorsion de lecture encore entre nous. Mais bon, je ne tiens plus à échanger quoi que ce soit sur ce site. Cela se fera sur des sites plus ouvert, où facilement on pourra se retrouver, et où vous pourrez même développer plus finement vos réflexions via des articles. Il suffira de googliser. ^__^

    @+

  31. Il y a un pricnipe en islam qui affirme l’humilité
    L’humilité c’est en partie être miséricordieux avec ceux qui sont plus faibles que nous.
    Les animaux font partie de ceux-là, l’homme est donc responsable d’eux aux yeux de Son Createur.

    Ce qui veut dire quoi : que le musulman doit montrer l’exemple et être encore plus responsable que le non-muuslman.
    C’est le premier qui doit s’interroger sur le traitement des animaux.

    L’islam n’a pas de lecon a aprendre des non-muslman, c’est à nous musulman d’apprendre notre religion et de la partager.

    Il ne faut pas esperer attendre d’une éthique des non musulman, car l’ideologie capitaliste est la principal force qui dicte les regles.
    Il ne faut rien attendre de ceux qui ont exterminer la richesse animal dans leur environnement (ours, loups, lynx etc ..) , qui montrent des animaux en cage dans les zoo … soubehanAllah.

    Donc les pseudo-defenseurs des animaux en tapant sur le regime halal ou cacher en fait ne connaissent pas le problème.

    Le problème il vient de l’economie industrielle qui est dirigé par des non-musulman qui n’ont pas d’ethique.
    Leur ethique c’est la maximisation du profit : la dounia.

    C’est l’ideologie du sytème qui est le probleme c’est pas le halal.

    Le fait de taper sur le halal-casher illustre en fait une forme de naivitéenfantile ou de manque de courage: celui d’affronter le véritable problème: les lobbistes de l’agro-alimentaire et plus largement parlant le capitalisme.

    C’est le système globalement qui est pourrit.

  32. sobhanallah c’est horrible de voir c’est bête dépecer alors qu’elle sont encore vivante qu’elle souffrance ‘ajib après ont dit que les mouslims son des barbares?

  33. Assalâmou alaykoum,

    @ Paradisial :

    Le frère Fateh a eu raison de nous modérer, c’était du hors sujet. En plus, erreur de manipulation, mon dernier post n’était pas au bon endroit, alors baraka Allâhou fik frère Fateh de m’avoir modérée ! 🙂

    Wa salâm

  34. salam aleycoum, je n’ai pas pu finir cette vidéo, j’ai pleuré tellement ça m’a fait mal au coeur de voir la peur de ces pauvres bêtes, c’est horrbile de voir comment ils les traitent!!! El hamdoulilah que nos bêtes sonts sacrifiées sans souffrance, je dis bien nos bêtes (celles qu’ont sacrifient nous même ou que l’ont sacrifie sous nos yeux) car les carrefours et compagnie ont a bien compris leurs jeux!!!

  35. Salam alikoum wa rahamtoullah wa barrakatou,

    Certains commentaires du moderateur sont d’une froideur là ou existe une mahaba et un amour… c’est comme cela on a tous nos defauts.

    Pour ex: Le frere pense bon de faire un groupe pour agir pour le « halal », pour seul reponse il reçoit cela:
    « votre action est vouée à l’échec. Réunir du monde pour agir, ça finit toujours pas l’inaction »

    Pas un mot de compassion pour allez dans le bon sens ni un conseil d’aide dans son desir d’action…
    Un professeur de college aurait dit « t’es nul » on obtiendrait le meme resultat auprès de son interlocuteur (eleve) un abandon a moins de n’etre bien persuadé de vouloir avancer malgré les DECOURAGEMENTS.

    Que Dieu nous guide, afermisse notre foi et notre fraternité.
    Que dieu recompense l’administrateur et les commentateurs dont l’objectif est « positif »

    Wa salam alikoum wa rahamtoullah wa barrakatou.

  36. as-salâmu ‘alaykum

    Quelquun
    Je pense qu’un jour je fermerai Al-Kanz comme ça du jour au lendemain à cause entre autres, mais pas seulement, d’interventions comme la vôtre.

  37. Cher Frère Abou Adam,

    wa alaykumu ssalam

    Ton post 45 est ultra-brillantissime et quiconque ne pourrait que très largement y adhérer.

    Là tu nous as sorti une sagesse d’une très très grande quintessence.

    J’aurais ultérieurement incha-Allah à produire un texte riche comparant l’abattage islamique et classique, qui ne pourra qu’avoir l’adhésion de quiconque le lirait, surtout de la part de nos frères non musulmans à qui il sera en premier lieu destiné dans un esprit de démystification et de clarification constructives ne pouvant souffrir de quelconque objection incha-Allah.

    Ce sera une petite gifle académique à livrer à la face de tous les incultes islamophobes, qui tiennent à nous titiller même sur ce terrain de « la préparation de la viande » alors que l’industrie classique est bien barbare.

    Ton texte est brillant, et j’aimerais avoir ton consentement pour l’intégrer d’avance dans ledit futur projet.

    Désolé si je ne puis échanger davantage (et mieux) sur ce site ; ma décision est catégorique et définitive. Le musulman a un esprit libre, qui intolère les bribes et les petites incohérences que l’on tente de lui imposer.

    Salutations les meilleures.

    ^__^

    Salamu Allahi alaykum

  38. salaam alikoum pour poursuivre dans ce bric à brac

    le site Al-Kanz appartient à M. Kimmouche, il y fait ce qu’il veut, y affiche ce qu’il veut, et y impose les regles qu’il veut

    celui qui se satisfait de ces regles, bismiLLAH wa marhaba, celui qui veut partir dans des HS, qu’il aille sur Fdesouche

    la messe est dite et la grande horlole est toujours à l’heure

    enfin, chacun voit midi à sa porte

    hafidhakoum Allah wa salaam alikoum

  39. Assalâmou alaykoum,

    Bon, je crois qu’avant de s’occuper du bien-être des veaux, vaches et compagnie, on va d’abord se centrer sur l’humain et ses besoins d’amour et de reconnaissance ! :-))

    Wa salâm

  40. As salaamou 3laykoum,

    3ndi su2al! En quoi l’étourdissement d’un boeuf dans sa cage de contention, préalablement à l’acte d’égorgement, peut-il être refusé et considéré comme non halal, si l’on sait qu’il ne tue pas l’animal? Je ne parle pas d’autres animaux, ici j’évoque bien la cas d’un bovin clairement en contention dans sa cage, et on ne doit pas lui courir après comme sur les vidéos.

    L’idéal ne serait-il pas d’alllier les différentes techniques existantes, au cas par cas selon les espèces animales (on n’égorge pas un boeuf de la même manière qu’un poulet), afin de rechercher la meilleure manière d’égorger avec le moins de souffrance possible l’animal?

    J’ai la désagréable impression que nous avons tendance, nous musulmans, à nous braquer dès qu’il s’agit d’introduire une amélioration (donc en quelque sorte une nouveauté) dans nos façons de faire, alors que la première question qu’il serait judicieux de se poser n’est pas de savoir si il y a un changement sur la forme mais bien si ce changement est dans l’esprit de l’islam, et permettrait de nous améliorer en ce bas-monde.

    Ici si il s’agit de minimiser la souffrance animale, et bien c’est un but noble, et aucune question ne doit être éludée, ne pensez vous pas?

    Merci wa as salaamou 3laykoum

Répondre à haaji Annuler la réponse

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

- Publicité -spot_img

Derniers articles

OK, je soutiens
Non, merci