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Libération : chant du cygne avant de devenir un cybercafé

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une de libération

Elle est pas belle cette une de Libération à paraître jeudi 13 février ? Il fallait bien ça pour espérer vendre un peu plus que d’habitude et renflouer les caisses vides. Parce que les subventions publiques, autrement dit nos impôts, ça paie plus son journaliste de gauche. On dirait du Charlie Hebdo, la fibre scatologique en moins.

Comme vous le savez, Libération va mal. Grosse chute des ventes l’an dernier, les Français n’aiment plus trop la soupe que ce quotidien leur sert. Bon évidemment, il demeure encore des lecteurs historiques qui, par acquis de conscience, verse l’obole pour tenter de sauver le navire, qui continue de couler.

Le naufrage est inéluctable. Old, tiède, plus dans l’idéologie sclérosante que dans le journalisme, Libération est à l’agonie. C’est pourquoi ses patrons, les actionnaires, ont une excellente idée : faire de ce qui était jadis un journal un cybercafé. Et ça, les journalistes de Libé, comme disent les branchés, ils n’en veulent pas. D’où les gémissements de ce week-end et les chouineries qui n’ont cessé depuis l’annonce de la nouvelle la semaine dernière. C’est pourtant inéluctable. Répétons-nous.

D’autres le disent plus intelligemment, à l’instar de Philippe Kieffer, qui lui-même a travaillé chez Libération.

Lire – Libération prisonnier d’une logique suicidaire

Et de Fréderic Montagnon, qui publie un excellent article sur le sujet.

Libération bientôt un cybercafé donc, Le Nouvel Obs un hammam. Et Le Figaro, une poissonnerie, comme le suggérait hier un internaute sur Twitter ?

Terminons pour éviter que ne viennent troller quelques esprits aigris : oui, nous aimons le journalisme. Mais le bon, le propre, l’intelligent.

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9 Commentaires

  1. Les journalistes d’aujourd’hui sont en majorité devenus les « nouveaux chiens de garde » de la bienpensance. Leurs articles servent à surfer sur les peurs pour vendre du papier mais leurs thématiques consacrées à l’islam, aux roms, aux chômeurs soit-disant « assistés » et à l’insécurité deviennent répétitives et lassantes pour un public qui cherche des informations de qualité sur des problématiques sociales, économiques et géopolitiques.
    Le journalisme de combat contre l’idéologie « capitaliste » du philosophe Jean-Paul Sartre, fondateur de Libération en 1973, n’existe plus car le journal s’est fourvoyé dans la presse à sensations.

  2. salam cela fait 3 jours que je ne regarde plus les journaux televises et ne lis plus la presse cela fait du bien a part al Kanz et Ajib c’est tout franchement je le conseille a tous

  3. Une petite chose aussi.

    Un Français qui va combattre le régime de Bachar et revient en France il est « archivé » terroriste et enfermé en prison.
    (Sachant que la France était prête à intervenir en Syrie contre ce même Bachar.)

    Un Français qui s’engage dans l’armée Israélienne et revient en France, est nommé au conseil d’Etat : J’ai nommé Arnaud Klarsfeld

    Merci pour tout !

  4. salam alaykoum , moi ce qui me trouble c est comment ils ont eu « l information » , si ils ont eu une intervieuw exclusive ?! le frere aurait laisser les armes rien que pour un journal a sensation? je n y crois rien de ces medias a sensation specialiste des islmamistes ………
    j espere insh Allah , qu Allah les guidera dans son chemin …..

  5. L’immeuble de «Libération» est au cœur de montages offshore

    13 février 2014 | Par Dan Israel

    Le siège du quotidien est détenu et géré par une cascade de sociétés, logées au Luxembourg, au Panama ou aux îles Vierges britanniques. Bruno Ledoux, l’un des actionnaires principaux du journal, est le détenteur, minoritaire, de ces entreprises. Le montage a attiré l’attention du fisc, qui réclame plus de 40 millions d’euros d’impayés dans une procédure encore en cours de jugement. Le propriétaire de l’immeuble a par ailleurs signifié sa volonté de vendre ses avoirs immobiliers.

  6. Confronté à la situation financière critique du journal, Bruno Ledoux se trouve de facto en première ligne. Il indique détenir 26 % du capital de Libération, à égalité avec Édouard de Rothschild, après avoir « investi 7,5 millions d’euros en deux fois en 2012 ». Sur cette somme, 1,5 million a été apporté par François Moulias, autre membre du directoire du journal, qui joue depuis plusieurs semaines les intermédiaires entre la direction et la rédaction. L’opacité des structures utilisées par ces hommes d’affaires n’est pas de nature à renforcer la confiance entre les parties.

  7. Vraiment là j ai un flash , en ces jours de révision ce matin je tombais sur les article propagandiste anti juifs, anti Dreyfus de l’ époque mais je jure que la c ‘ est pire où sont les musulmans? Ou sont les associations de défense , les militant antis- racistes, les dirigeants de pays musulmans? Qui nous défends? et après certaines personnes se plaignent que les moudjahidines ont la côte ?! Quelle est la solution? Je me sent bafoué tout les jours et le pire c’ est que cela s’ aggrave, ou le navire nous emmène t-il? A toute ces questions aucun politique ne pourra jamais y répondre car le chaos est leur finalité…

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